Qu’est-ce qu’ un Launch Control ?

Même si certaines rares automobiles contemporaines à transmission manuelle peuvent inclure le Launch Control, l’utilisation généralisée des transmissions automatisées dans les véhicules hautes performances a finalement conduit au développement de cette fonctionnalité.

C’est aussi le résultat de l’augmentation de la puissance du moteur, qui a rendu plus difficile de se déplacer en utilisant toute la puissance disponible (surtout dans les véhicules à deux roues motrices, et surtout les tractions, néanmoins, il est moins fréquent de voir le Launch Control sur ce type de configuration).

La plupart des voitures rapides ont des hélices ou des quatre roues motrices. Dans cet article, nous verrons comment fonctionne le Launch Control et pourquoi il est crucial pour les performances du véhicule lors des démarrages à l’arrêt (et notamment les chiffres officiels du 0 à 100 km/h).

Fonction exacte du contrôle de lancement

Son but est donc d’optimiser l’accélération sur le premier voire le deuxième rapport pour les machines les plus puissantes en exploitant pleinement la puissance du moteur et l’adhérence offerte par le bitume au moment de leur utilisation.

Donc, il s’agit d’un contrôle de traction (qui, pour être juste, peut être trouvé à peu près partout ces jours-ci) avec le seul objectif de maximiser l’accélération, par opposition à l’objectif d’un contrôle de traction standard, qui est simplement de couper la livraison de carburant lorsque les choses commencent à mal se comporter (et pas nécessairement pour maximiser l’accélération).

Après avoir vu les voitures électriques Model S de Tesla, on s’interroge sur leur aspect pratique. Contrairement à un moteur thermique, dont la courbe de couplage et de puissance est beaucoup moins régulière, celui-ci n’a pas d’utilité intellectuelle déterminante. Cependant, il est peut-être plus pratique pour l’entraînement de devoir relâcher les freins plutôt que d’accélérer rapidement, dans ce cas, le bénéfice serait plus ergonomique que performant.

Comment fonctionne la procédure de séquence de lancement ?

Mettons cela en pratique… Pour cette raison, un contrôle précis du moteur et de l’embrayage est essentiel pour maximiser l’accélération et la vitesse de pointe du véhicule. En plus du moteur, il sera réglé sur son mode idéal, ou celui qui fournit le plus de puissance possible. Vous constatez donc qu’entre un Macan TDI (diesel turbo) et une 911 atmosphérique (essence atmosphérique) le régime de départ n’est pas du tout le même !

Ainsi, il faut éviter de faire travailler le moteur dans une plage énergivore en n’accélérant le véhicule que lorsqu’il se trouve dans sa plage de régime idéale (et y reste). Ceci est réalisé par une transmission à variation continue (CVT).

Ici, vous devez râper le plus petit newton pour réduire les nombres de zéro à un de quelques dixièmes et gagner la course d’accélération. En fonction de l’escalade et de la force du bloc, nous maintiendrons ce calendrier pendant toute la durée des première et deuxième relations.

Étapes du Launch Control

A l’aide des capteurs de vitesse de roue de l’ABS/ESP, le calculateur peut ajuster rapidement et précisément la pression appliquée aux freins en cas de dérapage. Pour cet exemple, j’ai arbitrairement décidé d’utiliser un embrayage multidisques humide.

C’est donc l’embouchure, et non l’injection, qui est responsable de la modulation de la traction. Ça y est, l’embrayage est cette fois totalement verrouillé et ne produit plus de patinage Aussi, sachez que chacune de ces étapes ne prend pas beaucoup de temps et qu’il faudra être très attentif pour voir quand le régime se stabilise sur une certaine portion de la courbe d’accélération.

Étant donné que la boîte de distribution de vitesse est constituée de relations fixes et changeantes, la question est de savoir dans quelle mesure un régime d’accélération peut être stable. Si je me mets en tête, ma routine remontera à partir de zéro (par les zones moins idéales pour la relation et le pouvoir) comme dictée par le pignon de la personne en tête.

Les commutateurs de commande de lancement manuel ne peuvent être utilisés que pour la synchronisation du moteur, tandis que certaines voitures plus récentes incluent un actionneur électrique pour la commande de lancement hydraulique.